Vous apprendrez dans ce guide
- Ce que sont les émissions fugitives de poussières et leurs impacts sur la santé et la conformité.
- Les principales familles de capteurs : gravimétriques, à effet bêta, analyse chimique, capteurs optiques, lidar et réseaux de surveillance.
- Les avantages, limites et coûts réels de chaque technologie.
- Comment choisir la bonne solution pour votre site industriel.
- Les meilleures pratiques pour réduire les risques et éviter des coûts inutiles.
À qui s’adresse ce guide ?
Ce guide s’adresse aux :
- Responsables environnement et SST.
- Opérateurs industriels dans le secteur minier, portuaire, de la construction et de l’énergie.
- Consultants et équipes conformité en qualité de l’air.
Niveau technique

Aucune expertise technique poussée requise, explications en langage clair.
Principaux enseignements du guide
- Les systèmes lidar peuvent couvrir une zone équivalente à 70 000 capteurs fixes.
- Les capteurs approuvés par la réglementation coûtent entre 65 000 et 70 000 $ ; des capteurs économiques à moins de 500 $ existent mais avec des limites de performance.
- Les capteurs optiques à diffusion offrent une surveillance en temps réel abordable du PM2,5 et du PM10.
- Une mauvaise détection peut entraîner des arrêts forcés, des poursuites et des pertes de productivité atteignant plusieurs centaines de milliers de dollars par an.
Foire aux questions
Qu’est-ce qu’une émission fugitive de poussières ?
Ce sont des particules en suspension libérées involontairement par des activités comme l’exploitation minière, la construction, les ports ou la circulation routière. Elles échappent aux systèmes de confinement et se dispersent dans l’air ambiant, impactant la qualité de l’air et la conformité.
Pourquoi surveiller ces poussières ?
Parce qu’elles affectent la santé, contaminent sols et eaux et peuvent entraîner des amendes ou poursuites. La surveillance assure la conformité, protège les communautés et sécurise votre droit d’opérer.
Quels capteurs sont couramment utilisés ?
Les options incluent : capteurs gravimétriques, capteurs à effet bêta, analyse chimique, capteurs optiques, imagerie optique, lidar et réseaux multi-capteurs.
Comment fonctionnent les capteurs optiques ?
Ils utilisent des lasers ou DEL pour mesurer la diffusion ou l’absorption de la lumière par les particules. Ils fournissent en temps réel des données sur la taille et la concentration des particules à un coût abordable.
Quels sont les risques financiers d’une mauvaise surveillance ?
Amendes, poursuites, atteinte à la réputation et arrêts forcés d’opérations, pouvant coûter plusieurs centaines de milliers de dollars par an en pertes de productivité et frais supplémentaires.