Déjà, et indépendamment de la crise actuelle, de très nombreuses personnes dont l’horaire est très chargé souhaitent gagner le plus de temps possible, et l’une des solutions à leur portée est d’éviter de faire l’épicerie soi-même. En outre, les personnes vulnérables, malades ou dans l’impossibilité de sortir de chez elles pour quelque raison que ce soit y voient une solution. C’est sans compter les offres de panier-repas, les repas sous vide et même les paniers de produits frais venant des maraîchers locaux qui sont livrés directement à notre porte. Bref, de nos jours, les raisons sont nombreuses pour que les aliments passent du producteur au réfrigérateur du consommateur.
Mais la question qui revient régulièrement est : comment garantir la fraîcheur et l’innocuité des aliments le plus longtemps possible ? Cette question est d’autant plus pertinente que ces boîtes sont parfois laissées au pas de la porte, certains jours au soleil et à la chaleur, en attendant le retour de leur destinataire.
Le marché de la livraison de nourriture en ligne pourrait atteindre 200 $ G US en 2025. Des semaines, sinon des mois, peuvent séparer le moment de la cueillette de celui de la consommation. Les millénariaux, habitués à un monde où tout va vite, sont de plus en plus nombreux à apprécier la livraison de nourriture à domicile. Le maillon critique de la chaîne de livraison des denrées périssable est le dernier, celle qui va du supermarché ou du fournisseur de repas jusqu’aux chaumières des consommateurs. La boîte de denrées contient une variété d’aliments dont la température de conservation optimale n’est pas toujours la même. Pour le consommateur, il est important que ces aliments périssables restent frais et qu’aucune bactérie ne puisse se développer à la faveur d’une température de transport trop élevée. Si un problème arrivait, c’est la compagnie de livraison qui en subirait les représailles. Le supermarché, le restaurant ou le service de repas pourrait aussi souffrir d’une mauvaise publicité. Avec les réseaux sociaux, le moindre faux pas est aujourd’hui rapidement connu.
Une solution optimale permettrait à toutes les parties prenantes (le marchand, le livreur et le consommateur) de valider l’intégrité de la chaîne de froid, ce qui garantirait la fraîcheur des produits tout en évitant les risques pour la santé. Cependant, plusieurs entreprises n’osent pas s’avancer dans cette avenue de peur d’avoir à augmenter leurs frais de livraison. Pour le moment, les aliments sont livrés dans des boîtes munies d’un revêtement isolant, mais sans aucun moyen de contrôle réel, que ce soit pour le chaud ou le froid.
Mais si on vous disait que monitorer la température des aliments avec une boîte intelligente pourrait être plus facile et moins cher que vous ne pensez ?
Avec le développement rapide des technologies de l’électronique imprimée, il est dorénavant possible d’intégrer tous les composants électroniques nécessaires à la production de masse d’un autocollant connecté qui transforme une simple boîte en objet intelligent. Pour leur part, les experts d’INO ont mis au point les procédés d’impression des capteurs de température et d’humidité qui sont au cœur du monitoring de l’intégrité de la chaîne de froid. INO travaille également au développement d’une technologie écoresponsable qui remplace le silicium par le carbone et qui utilise moins d’argent et de métaux lourds que les circuits traditionnels.
Dans un contexte de développement et de partenariat, INO offre ses procédés d’impression de capteurs sous la forme de transferts technologiques aux développeurs, intégrateurs et manufacturiers de solutions électroniques intégrées.
Intrigué de savoir comment votre chaîne de froid pourrait passer à l’ère de l’internet des objets ? Laissez nos experts vous expliquer et vous guider dans votre quête d’une solution sur mesure pour votre chaîne de production, vos besoins et vos défis. Vous verrez, vos boîtes de livraison pourraient aisément monitorer les aliments plus vite que vous l’auriez cru !